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Le Sentier
(Cliquer sur l'image pour l'agrandir)
Référence est faite à la lettre à M. De Lamoignon par Nicolas Boileau (1636-1711)
Épîtres (1669-1698),
Les plaisirs de la campagne (extraits).
« Oui, Lamoignon, je fuis les chagrins de la ville,
Et contre eux la campagne est mon unique asile
[...]
Il me faut du repos, des prés et des forêts.
Laisse-moi donc ici, sous leurs ombrages frais »
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Commentaires
Il n'y a rien de plus ressourçant que de se balader dans des forêts en respirant ses parfums si revigorants.....Je suis en accord total avec tous tes mots, rien que de les lire, je me sens bien........Merci...
Merci Ghislaine, tu vois, il y a plusieurs façons de se mettre "dans le bain"
Bon dimanche.