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Sonnet
Oh, je te sens si triste... et j'en sais les raisons,
Un Don Juan stupide a profané ton rêve,
D'une fleur trop candide, il a souillé la sève,
De là, ta méfiance... Ô viles trahisons !
Sache qu'avec le temps, de tout, nous guérissons,
Que de pareil dommage, un jour on se relève ;
Sache aussi qu'en secret, je pense à toi sans trêve
Et que je peux t'aimer de bien d'autres façons.
Je t'apprendrai l'oubli d'une rancune infâme
Lorsque tu m'ouvriras les portes de ton âme,
Alors, il faut oser, ne jamais avoir peur.
Oui, je t'entourerai de coussins de tendresse
Enjolivés de mots doux comme une caresse
Pour toi les enserrer dans l'écrin de ton cœur.
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Commentaires
Bonsoir, encore une fois, un si beau poème pour ce défi. Bonne soirée
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Serais tu lire les pensées les plus secrètes ?
Saurais tu guérir les êtres ?
Tes mots sont déjà le prologue heureux
d'un confort pour le mieux...........
Merci Ed pour ce poème si beau.
Merci pour mon atelier de mots..........
Ghis.♥